mardi 15 novembre 2011

J'envoie ce texte à titre d'information, à vous de faire votre propre opinion.




Bravo! Claude Jasmin
Je reçois cet écrit qui me paraît plus positif que tout ce qui peut être colporté par les medias pour salir un monde qui a tant donné .


A lire sans faute !
Objet : Bravo! Claude Jasmin
Un gros merci à toutes ces personnes qui ont donné si généreusement de leur vie.
Nous devons beaucoup à ces religieuses , à ces frères et à ces prêtres qui ont participé à notre instruction et à notre éducation. Ils ont été des gardiens de notre langue. Nous leur devons une partie de ce que nous sommes devenus.
Le texte, qui suit, de Claude Jasmin remet les pendules à l’heure. Claude.
Bravo! Claude Jasmin
Toutes les soutanes dans le même sac?
Claude Jasmin, écrivain
Sainte-Adèle
Les curés, les «frères», tous les ensoutanés de jadis : des pervers sexuels, pédophiles dangereux?
Bon, bon. Ça suffit les zélotes du fondamentaliste athéiste, chers anticléricalistes aveuglés, acharnés, repos! La vérité : collectivement nous devons manifester aux enseignants de jadis une immensereconnaissance. En toute justice, sans aucune honte.
Officiellement on dit qu'il y a eu 7% de pédophiles, donc, il y a eu 93% de prêtres et de religieux
enseignants qui se sont dévoués généreusement à ce vaste ouvrage pédagogique, mal payés, sans
vrai prestige le plus souvent. Certes avec plus ou moins de talent pédagogique. Ces innombrables
vaillantes troupes d'hommes en soutanes sont, ces temps-ci, collectivement salies par ce malheureux 7%. Le temps est donc venu de stopper la diffamation généralisée des enseignants religieux, une entreprise malveillante, un ouvrage maléfique, entretenu par certains laïcistes fanatiques.
Hélas, nous sommes nombreux à nous taire, intimidés par la mode du jour : le vice répandu partout.
Allons. Plein de Québécois se taisent peureusement face à ce déferlement, à cette infâme généralisation.
Ce «tous les curés dans le même odieux sac» accable des gens âgés ayant consacré une vie en dévouement.
Toute une existence à enseigner aux enfants du peuple Québécois, sans aucune discrimination.
Je souhaite entendre, lire quelques témoignages de reconnaissance désormais. Innombrables sont ces anciens gamins qui ont une dette d'honneur envers des religieux enseignants, dont des pédagogues absolument merveilleux. Il faut les nommer. En toute justice. Il faudrait pour chaque mille dollars arrachés à une congrégation accusée, verser «neuf fois» cette somme, cela correspondrait en toute équité à ce 7% de vicelards versus ce 93% d'intègres religieux.
Pour ma part, je dis merci aux dévoués Clercs de Saint-Viateur de ma «petite école», rue De Gaspé dans Villeray (frère Foisy, frère Carpentier, salut !); comme je dis «grand merci» aux Sulpiciens du collège Grasset (Père Amyot, père Legault, salut !) à Ahuntsic. J'invite mes compatriotes à ne plus se taire face à l'actuelle mode de déclamer : «Tous les ensoutanés furent d'horribles vicieux!» Malgré notre très vive solidarité et sympathie aux malheureuses victimes du 7%, proclamons que ce 93% du clergé enseignant formait une aide indispensable pour nous tous, écoliers des masses laborieuses.
Osons nous lever pour les en remercier chaleureusement.

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