mercredi 30 novembre 2011

Bilan souper-bénéfice Denis Boulanger




Bilan souper-bénéfice Denis Boulanger
Publié par Sonia Bacon le 28 novembre 2011 à 8:42
.nrelate .nr_sponsored {
LEFT: 0px! important
}
//


Isle-aux-Grues, 25 novembre 2011 – C’est ce soir que le Café aux 4 Vents remettait la somme amassée lors du souper-bénéfice du 19 novembre, à Monsieur Denis Boulanger. Les 170 convives ainsi que les multiples donateurs diversifiés ont permis d’accumuler une somme de 4590$. L’objectif ciblé était de 3000$. Monsieur Gaston Robin et Madame Marie-France Bernier, organisateurs principaux de l’activité, se disent très satisfaits de la participation des gens. « Cela traduit la grande confiance que la population ont encore en moi; je connaissais chaque personne présente et ça m’a beaucoup touché » mentionne M. Boulanger. Une somme d’environ 500$ lui avait déjà été remise personnellement il y a quelques jours. Seulement les tirages ont permis d’amasser 900$ grâce aux commanditaires. Chacune des serveuse a donné gratuitement de son temps et le Café aux 4 Vents fournissait généreusement le souper du 19 novembre.
Monsieur Boulanger prendra l’hiver avec ses fils pour se donner une période de réflexion. L’incendie qui a saccagé son entreprise en septembre dernier a donné un coup dur sur sa famille mais il souhaite ardemment rester dans la municipalité et y poursuivre sa vocation agricole. Il a quelque piste d’avenir mais souhaite laisser retomber le stress avant de prendre une décision sur ce qu’il entreprendra comme démarche officielle. Une chose est sûre, c’est qu’il désire de tout coeur collaborer au dynamisme de l’île dans les prochaines années comme il l’a fait depuis son arrivée en 1970.

mardi 29 novembre 2011

Suivi des travaux.

Les réparations vont bon train mais ils ne finiront encore cette semaine.



Malgré tout çà avance, c'est pas prêt de bouger je vous assure.







Là ils travaillent à deux places j'ai hâte de pouvoir monter à la Haute ville et Basse ville à mon goût.






Ce sont de bons travaillants, de bonne heure et parfois tard le soir, ils sont chanceux on est comme en été.






lundi 28 novembre 2011

Je veux vous montrer ce qui restait en oies samedi le 26 novembre

Il faisait tellement beau samedi que les oies nous sont revenus car çà faisait deux jours qu'on les voyaient plus. Pour le 26 novembre c'est parfait et l'hiver n'est pas à nos portes.








Les travaux sont toujours en cour.

C'est pas mal les dernières photos d'oies pour cette année.





Là on commence les décos de Noël, il fait doux faut en profiter.





Photos du bingo de samedi mais mon objectif c'était déplacé et je n'ai pas vérifié.

Solange toujours chanceuse, soit avec bingo ou billets. Nous avons passé une belle soirée.



Michèle, Julie et Rachel et la poupée d'Abigaël.




La vue de l'ensemble de la salle très fonctionnelle, pas mal de monde bien du plaisir pour tous.


La salle très bien décorée avec l'ambiance des fêtes de Noël rien de mieux pour notre soirée récréative des Fermieres. Merci a l'administration très bonne soirée.





samedi 26 novembre 2011

Les travaux dans le chemin pour les murs de soutènement avancent

Voici un aperçu du travail effectué dans l'île.





Avec les appareils qu'ils ont çà va bien, mais quand même.

Pas facile d'aller patauger dans le coin.




Mais ils vont y arriver.















jeudi 24 novembre 2011

Surprise première neige 23 novembre.

C'est l'hiver qui nous arrive.


Le soir tout était revenu au normal


Voilà ce qui nous est resté photographié ce matin.



Êtes vous prêt pour l'hiver, ne pas oublier les pneus d'hiver, notre auto est rendu en ville, çà me fait de la peine car elle avait des clous, çà fait qu'on va prendre notre vieux 4/4





mercredi 23 novembre 2011

Le transport aérien devenu un choix gagnant pour les touristes visitant L’Isle-aux-Grues en 2011 - o



. oieblanc.typepad.com



Isle-aux-Grues, 22 novembre 2011 – C’est un triste bilan que la Corporation touristique de L’Isle-aux-Grues présente cette saison. La tendance à la baisse affecte beaucoup cette fragile destination, tout comme partout dans la région. Or, certains intervenants ont la cote pour ce qui est de l’aventure et Air Montmagny se distingue beaucoup par sa popularité cette année. Plusieurs intervenants de l’île, sinon la majorité, mentionnent encaisser une baisse d’achalandage au cours de la saison touristique 2011. En effet, pas plus de 13 200 touristes auraient vraisemblablement visité la destination insulaire de mai à octobre. Nous sommes loin des répercussions de la Petite Séduction en 2009 qui avait attiré 19 000 visiteurs cette année-là. Le train-balade municipal qui a subi une superbe cure de jeunesse au printemps a malheureusement aussi diminué de 29% de ses passagers. La corporation indique que les travaux réalisés tard en saison à cause de la mauvaise température a nuit légèrement aux opérations mais cela ne justifie pas clairement la baisse importante. Il faudra donc s’attendre à une légère hausse des tarifs en 2012 mais rien n’a encore été confirmé par l’administration touristique. L’île est à l’heure des réorientations pour conserver son statut de produit d’appel. Néanmoins, 2011 fut une année où les transporteurs maritimes ont été futilement délaissés pour le transport aérien. Montmagny Air Service supporté par son dynamisme en région et la qualité de son service ne peut que dévoiler un bilan positif pour la destination Isle-aux-Grues. Les données du kiosque d’accueil de la corporation touristique de L’Isle-aux-Grues révèle que l’avion est devenu de plus en plus l’alternative rapide des visiteurs qui ne veulent pas être dépendant des marées pour entrer ou sortir de l’île. Plusieurs forfaits en hébergement sont maintenant offerts au grand plaisir du public qui détient ainsi plus d’autonomie sur son séjour. 42% de la clientèle de l’île sont en couple et 44% ont plus de 40 ans. On note également que 66% visitaient l’île en 2011 pour la première fois. La corporation a aussi noté une grande augmentation de sa clientèle européenne qui semble s’intéresser de plus en plus à la région. C’est donc un marché dans la mire des insulaires qui saura sans doute leur faire goûter « Le Riopelle de l’île » dans son décor bucolique où la nature côtoie la culture. Source : Edith Rousseau, coordonnatrice des opérations, CDTIAG

mardi 22 novembre 2011

Journée de ramonage là je vais pouvoir allumer le poêle.

Toujours disponible ce Simon quand il va prendre sa retraite il va manquer à tous,




Toute une job mais c'est fait et je suis toujours inquiète tant que ce n'est pas terminé.



On repose le chapeau et voilà, merveilleux.




lundi 21 novembre 2011

Soirée pour La Ferme Denis Boulanger Inc

Le responsable de cette initiative M.Gaston Robin.




La seule photo ou Bertrand figurait est prise sur Facebook de Rachel.






Au loin les dames qui nous servaient, Marie France la proprio avec M.Robin, Rachelle G. Nancy G, Julie Racicot,





Lucette V, pr'es de moi, Steph.



Rachel, Aline.







Denis Boulanger qui explique et remercie tout le monde.













Lucia pr'es de moi 'a notre table. En arrie're la table chez M.ethier.

















Daniel et Gustave 'a notre table.



























Famille et amis a Denis,


Un beau souper , bon repas toujours excellent










Organisation de M.Gaston Robin et la vendeuse de billets comme toujours, bonne dans la vente










Mme Rachel G. Belle occasion pour faire du social.














dimanche 20 novembre 2011

L'Isle-aux-Grues: complètement fromage








Violaine BallivyLa Presse
L'Isle-aux-Grues compte 125 habitants. Une quinzaine travaillent à la fromagerie. Cinq familles de fermiers lui fournissent le lait. Enlevez les enfants et les retraités: tout le monde ici, ou presque, vit du fromage dans cette petite île d'à peine 7km de long, face à Montmagny. Portrait d'une communauté hors du commun où tout tourne autour d'un plaisir de la table.
L' air est vif en ce début de novembre. La nuit tombe vite. Froide et noire. La nature se meurt dans les champs. Dans quelques semaines, les insulaires seront privés de leur traversier pour l'hiver et n'auront d'autre choix que de prendre l'avion pour sortir vers Montmagny, aller chez le médecin, le dentiste, s'acheter des vêtements ou aller au supermarché. Toutes ces activités banales qu'on fait d'habitude à pied ou en voiture.
On comprend vite pourquoi il est quasi impossible d'engager une conversation ici sans entendre pester contre la déficience des transports entre l'île et la terre ferme. Ironie du sort, c'est pourtant à cause, ou grâce à cela, qu'ils sont devenus d'aussi fiers et réputés producteurs de fromage.
Le lait ne se transporte déjà pas très bien par bateau, mais le charrier en avion de novembre à mars, quand le traversier arrête de faire ses allers-retours vers Montmagny? Oubliez ça! Les fermiers de L'Îsle-aux-Grues ont pris les choses en main il y a 35 ans, créant une coopérative dont la mission essentielle serait de transformer tout le lait produit sur ce lopin de terre niché en plein coeur du Saint-Laurent.
«Sans la fromagerie, notre île serait pratiquement morte. Sans activité économique, on n'arriverait pas à retenir notre monde», tranche net Christian Vinet, le dynamique directeur de la Société coopérative agricole de L'Îsle-aux-Grues.
Le cheddar d'abord
Les débuts de la fromagerie seront modestes. Les premières années, il faut encore mettre les vaches au repos pendant l'hiver parce que les chemins ne sont pas déneigés: le lait ne peut même pas être transporté sur les quelques kilomètres qui séparent les fermes de la fromagerie! Les agriculteurs s'en tiennent alors au cheddar, vendu sans aucune distinction. Les volumes augmentent à petits pas puis à pas de géants après 1987, quand le lait peut enfin être produit et acheminé 12 mois par année.
Mais il faudra attendre encore 10 ans pour que L'Îsle-aux-Grues clignote enfin sur les écrans radars des gourmets. Christian Vinet vient de produire une étude sur la fromagerie dans le cadre d'un cours en agroéconomie à l'Université Laval. Son constat est clair: il faut passer dans les ligues majeures et lancer la production de fromages fins. Le Mi-Carême arrive sur les rayons en 2000. Premier succès. Le Riopelle est lancé l'année suivante, avec l'approbation du célèbre peintre, qui habitait l'île, et l'autorisation de reproduire l'une de ses toiles pour donner un coup de pouce aux ventes. Deuxième succès. Monstre cette fois. En 10 ans, la taille et la production de la fromagerie doublent, les équipements sont modernisés, le nombre d'employés triple. Le Riopelle cumule les distinctions, dont le Prix du public du concours québécois Caseus (catégorie pâte molle) en 2010. Mais la Tomme de Grosse-Île (lancé en 2004) fait encore mieux et rafle la même année le Caseus coup de coeur du public, toutes catégories confondues.
Le cheddar produit ici prend aussi du galon et se raffine. On ne vend plus un produit anonyme, mais trois variétés vieillies 6 mois, 1 an et 2 ans. La Coop est l'une des rares à posséder l'agrément fédéral requise pour vendre ses produits dans le reste du Canada et lorgne ouvertement les États-Unis.
L'envers du succès
La suite n'est pas aussi rose. «Des fois, quand tout va trop bien, c'est là que les ennuis commencent», dit Christian Vinet. La fromagerie a été montrée du doigt, à tort, comme un des foyers de la crise de la listériose en 2008. Les consommateurs ont eu peur, les ventes ont souffert.
Puis, en septembre dernier, un violent incendie a complètement détruit la ferme de Denis Boulanger, la plus grosse de l'île, emportant au passage ses 200 vaches. Les débris ont été nettoyés, mais le portrait reste d'une tristesse déconcertante. Trois silos noircis et une impression de vide étrange. Denis Boulanger n'est pas remis. Il n'a pas encore décidé s'il reconstruira.
En attendant, c'est toute l'île qui dû se retrousser les manches. La fromagerie a dû encaisser une sérieuse baisse de production laitière et les fermiers ont dû reprendre une partie du quota de lait de M. Boulanger.
Vivre dans l'isolement
Les producteurs de lait ne sont donc plus que quatre désormais, et recruter de la main-d'oeuvre, à la fromagerie comme dans les champs, promet d'être le principal défi des années à venir.
Tout le monde n'est pas fait pour vivre ici. Frédéric Poulin n'a même pas trouvé le temps d'aller chercher le prix gagné par la Tomme de Grosse-Île, produit exclusivement à partir du lait de ses 45 Suisses brunes. «Je ne pouvais pas les laisser», lance ce petit costaud. La première traite des vaches commence à 6h30, la dernière est à 19h. Entre les deux, il faut nourrir les bêtes, les soigner, planifier les inséminations, nettoyer l'étable, travailler au champ, entretenir la machinerie. Sept jours sur sept.
La faiblesse des liens avec Montmagny n'aide en rien. Non seulement le traversier s'arrête en hiver, mais avec son quai en eau peu profonde, ses horaires sont entièrement dépendants des marées et donc extrêmement variables. Les enfants doivent se rendre à l'école en avion, les couples oublier les soupers au restaurant à l'extérieur, faute de pouvoir revenir dormir à la maison. Il y a bien une liaison aérienne, mais le Cessna ne fait que deux allers-retours par jour et le nombre de places est très limité.
Mais pour ceux qui acceptent ces contraintes, ce sentiment de huis clos a des avantages. Tout le monde se connaît, tout le monde s'entraide, tout le monde veut participer au succès de la coopérative. «C'est tellement le fun quand t'es dans un commerce, que tu vois les gens choisir ton fromage et dire qu'il est bon. J'ai envie de leur dire: "Hey, c'est moi qui l'ai fait! "» dit Frédéric Poulin, le rouge aux joues.
La Coop s'est d'ailleurs remise à développer de nouveaux produits. Un fromage fin à pâte molle devrait être lancé avant l'été. Puis, à beaucoup plus long terme, Christian Vinet rêve de revenir à un modèle d'agriculture plus traditionnel, où les fermiers recommenceraient à laisser paître les vaches dans les champs, l'été, et à les nourrir du foin de battures, l'hiver, comme on le faisait au début du siècle. Les vaches seraient mises au repos pendant la saison froide, accordant un petit répit aux fermiers. On produirait sans doute moins de lait, mais il serait plus typé et l'on pourrait espérer obtenir en retour une Appellation d'origine contrôlée.
Non, les fermiers de L'Îsle- aux-Grues n'ont pas fini de faire parler d'eux bien au-delà des limites de leur archipel.

jeudi 17 novembre 2011

Christian est venue aider à enlever banc,passerelle,caches à la Pointe Est va rester à les monter.

La vue de L'anse avec les oies.


Des oies encore à plein.



La chasse à Christian de ce matin.



Il n'est pas venue souvent , et c'est sa dernière visite pour cet automne.







C'est de l'ouvrage de débuter et de terminer. Mais là c'est pas mal la fin.





mercredi 16 novembre 2011

Journée de la citrouille.

Beau levé du soleil ce matin.





Àprès ma première citrouille, j'ai dit vous m'aider ou je cancèle, alors Christian s'est levé et Bertrand est venu nous aider.



Cadeau du voisin extraordinaire comme grosseur.



Merci les hommes, on va faire du potage, compote et confiture.





mardi 15 novembre 2011

Photo du coucher de soleil phographié chez nous par M,St-Hilaire



J'envoie ce texte à titre d'information, à vous de faire votre propre opinion.




Bravo! Claude Jasmin
Je reçois cet écrit qui me paraît plus positif que tout ce qui peut être colporté par les medias pour salir un monde qui a tant donné .


A lire sans faute !
Objet : Bravo! Claude Jasmin
Un gros merci à toutes ces personnes qui ont donné si généreusement de leur vie.
Nous devons beaucoup à ces religieuses , à ces frères et à ces prêtres qui ont participé à notre instruction et à notre éducation. Ils ont été des gardiens de notre langue. Nous leur devons une partie de ce que nous sommes devenus.
Le texte, qui suit, de Claude Jasmin remet les pendules à l’heure. Claude.
Bravo! Claude Jasmin
Toutes les soutanes dans le même sac?
Claude Jasmin, écrivain
Sainte-Adèle
Les curés, les «frères», tous les ensoutanés de jadis : des pervers sexuels, pédophiles dangereux?
Bon, bon. Ça suffit les zélotes du fondamentaliste athéiste, chers anticléricalistes aveuglés, acharnés, repos! La vérité : collectivement nous devons manifester aux enseignants de jadis une immensereconnaissance. En toute justice, sans aucune honte.
Officiellement on dit qu'il y a eu 7% de pédophiles, donc, il y a eu 93% de prêtres et de religieux
enseignants qui se sont dévoués généreusement à ce vaste ouvrage pédagogique, mal payés, sans
vrai prestige le plus souvent. Certes avec plus ou moins de talent pédagogique. Ces innombrables
vaillantes troupes d'hommes en soutanes sont, ces temps-ci, collectivement salies par ce malheureux 7%. Le temps est donc venu de stopper la diffamation généralisée des enseignants religieux, une entreprise malveillante, un ouvrage maléfique, entretenu par certains laïcistes fanatiques.
Hélas, nous sommes nombreux à nous taire, intimidés par la mode du jour : le vice répandu partout.
Allons. Plein de Québécois se taisent peureusement face à ce déferlement, à cette infâme généralisation.
Ce «tous les curés dans le même odieux sac» accable des gens âgés ayant consacré une vie en dévouement.
Toute une existence à enseigner aux enfants du peuple Québécois, sans aucune discrimination.
Je souhaite entendre, lire quelques témoignages de reconnaissance désormais. Innombrables sont ces anciens gamins qui ont une dette d'honneur envers des religieux enseignants, dont des pédagogues absolument merveilleux. Il faut les nommer. En toute justice. Il faudrait pour chaque mille dollars arrachés à une congrégation accusée, verser «neuf fois» cette somme, cela correspondrait en toute équité à ce 7% de vicelards versus ce 93% d'intègres religieux.
Pour ma part, je dis merci aux dévoués Clercs de Saint-Viateur de ma «petite école», rue De Gaspé dans Villeray (frère Foisy, frère Carpentier, salut !); comme je dis «grand merci» aux Sulpiciens du collège Grasset (Père Amyot, père Legault, salut !) à Ahuntsic. J'invite mes compatriotes à ne plus se taire face à l'actuelle mode de déclamer : «Tous les ensoutanés furent d'horribles vicieux!» Malgré notre très vive solidarité et sympathie aux malheureuses victimes du 7%, proclamons que ce 93% du clergé enseignant formait une aide indispensable pour nous tous, écoliers des masses laborieuses.
Osons nous lever pour les en remercier chaleureusement.

lundi 14 novembre 2011

Fermeture de la pourvoirie.

Beaucoup de travail à faire pour fermer la pourvoirie.




Christian lave les full Body par chance que la température est avec lui.




Çà prend du temps mais faut que çà se fasse



Stive et Benoit ont enlevé des caches, Christian et Louis aussi il va rester les marées hautes à Stéphane en fin de semaine. J'ai hâte que tout soit fini on va pouvoir penser à Noël.






Le temps passe vite on est rendu à la mi-novembre pas croyable.





vendredi 11 novembre 2011

Journée du Souvenir, Arrêt de travail.

Faut protéfer nos conifères, car à l'île le vent nous ménage pas lors des tempêtes du vent d'Est



Bertrand a un peu de misère avec son bras.



Voici les plaques de ciment qui vont mettre.





Tout un travail à faire.





Un gros appareil qui sert à entrer les poutres en acier dans le sol.









Je crois que ce quai de soutènement a été construit en 1954, on peut dire qu'il a fait son temps.